De La Souris À La Chatte... Ou "Histoire Sans Parole"

20 – De la souris à la chatte
De la souris à la chatte, il y a qu’un pas.... parfois facile à faire.... ou histoire sans paroles
Bonjour,
Quelques lignes pour vous présenter ma voisine : Marguerite est retraitée depuis peu. Brune, plutôt grande, elle a un corps bien proportionné et « entretenu » par la pratique régulière de gymnastique. Elle est toujours vêtue avec élégance mais simplement. Veuve depuis plus de dix ans, elle n’a pas refait sa vie de couple. Bien que nous nous connaissons depuis de nombreuses années, nous avons toujours eu des relations de bon voisinage sans jamais chercher à aller vers l’intimité que pourrait avoir une femme seule avec un homme aimant le sexe...
Ses deux fils et ses six petits s vivent, les uns au Canada, les autres en Australie. Chaque année, ils viennent passer quelques semaines de vacances chez elle. Equipée d’un ordinateur et via Internet, Marguerite reste en liaison avec sa famille le reste de l’année...
A l’occasion de son départ en retraite, ses collègues de travail lui ont offert un appareil photo numérique...
Fin septembre, un samedi après-midi, revenant d’une ballade, je trouve un message de Marguerite me demandant de passer chez elle car elle a des difficultés pour joindre des photos à ses courriels.
Après avoir pris une douche et vêtu d’un pantalon de survêtement, d’un tee-shirt, chaussé de claquettes, je sonne chez ma voisine...
Nous échangeons deux bises pour nous saluer et elle m’explique ses « ennuis informatiques ».
Assise devant son ordinateur, elle connecte son appareil photo et fait un essai. Pour mieux suivre les opérations, je suis debout derrière elle, légèrement penché afin de bien lire les instructions sur l’écran... Cette position me permet de respirer son parfum léger et d’avoir une vue plongeante dans le décolleté de sa blouse d’intérieur. Je peux apercevoir qu’elle n’a pas de soutient gorge et que ses seins peuvent très bien s’en passer.

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De temps à autre, je passe un bras pardessus ses épaules afin de corriger une erreur de saisie ou l’aider à appuyer sur plusieurs touches. Parfois nos doigts se frôlent où je sens la pointe d’un sein contre mon bras.
La répétition de ses « interventions », le parfum respiré, la vue de cette poitrine mal cachée, commencent à me troubler. Les « attouchements », involontaires et légers au début, deviennent de plus en plus provoqués et de plus en plus appuyés....
Je me penche d’avantage afin qu’elle sente ma respiration dans son cou... Toute attentive au fonctionnement de son matériel, Marguerite n’a pas l’air de s’en rendre compte...
Mais au bout de quelques minutes, il me semble qu’elle cherche ces contacts : elle avance légèrement son buste quand je passe un bras ou ses doigts restent sur le clavier quand je veux appuyer sur une touche... sa respiration s’est légèrement accélérée... elle fait de plus en plus d’erreurs...
Elle tourne la tête, nos bouches se trouvent face à face, à quelques centimètres. Elle a un léger sourire que je cache en appuyant mes lèvres contre les siennes. Nos langues se trouvent et s’enroulent comme deux serpents. Nous échangeons un long baiser... baiser auquel elle a volontiers répondu...., et je commence à la caresser. Tout d’abord les cheveux, tout en me rapprochant d’elle afin de déposer de petits baisers dans son cou. Puis ma main est partie dans son cou, glissant sur ses épaules, pour arriver sur ses seins. Nous nous sommes embrassés longuement, alors que ma main gauche caressait ses seins, et que la droite flattait ses cuisses.
Mes mains se posent sur ses seins et, à travers le tissu de la blouse, je fais rouler les tétons entre mes doigts. Marguerite se lève, passe un bras autour de mon cou, l’autre autour de ma taille, sous le tee-shirt.
Elle m’attire contre elle... J’appuie mon entre jambe contre sa cuisse pour bien lui faire sentir la montée de mon désir... Je commence à déboutonner la blouse et quand elle glisse de ses épaules, Marguerite se retrouve vêtue de sa seule culotte très largement auréolée d’humidité devant.
Je suis pris par cette ambiance érotique, mon sexe gonfle dans mon pantalon. Elle écarte les cuisses, fait glisser sa culotte sur le coté et du bout des doigts ouvre son vagin à mon regard. Là, ma verge est bandée au maximum. Je suis alors sur un nuage et je ne sais plus ce que je fais. Au moment où mon doigt se pose sur sa chair, elle ferme les yeux et savoure cet instant. Je lui caresse le clitoris du bout du doigt.
Ses mains caressent mes cheveux, mes épaules. Elles pressent doucement pour m’inciter à descendre plus. Je ne me fais pas prier. Ma bouche a quitté la sienne, et je glisse le long de son corps. Je gobe ses tétons, l’un après l’autre; je laisse ma langue jouer avec à l’écoute des soupirs qu’elle pousse.
Je me retrouve le nez à la hauteur de sa jolie petite chatte. Je sens son délicat parfum et dépose de petits bisous autour avant d’y plonger ma langue. Elle est reçue par un grand gémissement, et ceux qui suivent vont crescendo jusqu’à ce qu’elle se cambre et qu’elle se mettre à crier sa jouissance.
Puis, mon doigt rejoint ma langue, s’insinue entre ses lèvres vaginales et recueille sa liqueur intime. Après quelques coups de langue et de doigt, pendant que son corps se crispe, j’en profite pour baisser sa culotte, la faire allonger sur la moquette, quitter mon pantalon et, mon slip, libérant ainsi mon membre et le caresser.
Allongé près d’elle, je remonte mon visage jusqu’aux seins que je mordille et suce ; mon gland se pointe à l’entrée du vagin ouvert. Je sens au bout du gland l’ouverture de son corps. Un petit coup de reins et je la possèderai...
Mais un sursaut de moralité me saisi et, pris de remords, je m’interdis d’y entrer.
Comprenant la situation, elle passe ses bras autour de mon cou pour me faire allonger sur elle Elle projette son bas ventre vers moi et s’empale sur mon pieu qui s’enfonce facilement dans ses chairs. A partir de ce moment, la bête qui sommeille en moi se réveille et c’est avec des mouvements de furie que je la pénètre.
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Les yeux fermés, elle savoure mes allées et venues dans son vagin dégoulinant. Lui pétrissant les seins en même temps, je sens mon membre durcir à l’intérieur de ce corps qui attend ma jouissance. C’est à ce moment qu’elle ouvre les yeux et que son regard croise le mien. Et là, je ne peux plus me retenir... Les yeux dans les yeux, je lui envoie ma semence au fond du vagin pendant qu’elle a un nouvel orgasme.
Ayant repris mes esprits, un peu honteux de ce qui est arrivé, Je me dégage, et la laisse reprendre son souffle. Un rictus de satisfaction illumine son visage. Sa respiration se calme, lentement…
Elle se redresse d’un coup, me pousse sur le dos et se jette sur moi...
Elle me prend la bouche, m’embrasse fougueusement comme pour me remercier de cet orgasme Puis sa langue descend dans mon cou, sur mon torse, elle joue un moment avec mes tétons en passant, puis sur mon ventre. Arrivé à hauteur de ma bite qui s’est bien retendue, elle l’embouche d’une traite jusqu’au fond de sa gorge, sans s’aider de ses mains. Elle a une façon de caresser juste mon gland avec sa langue qui me fait craquer en peu de temps. Je ferme les yeux. Je déverse mon surplus de foutre en râlant au fond de sa gorge en moins de cinq minutes...
Pendant tout cet échange de plaisir, nous n’avons pas dit un mot...

Petikokin

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